La quête du
Graal…
… Je crois que c’est
l’expression qui qualifie le mieux aujourd’hui la recherche de son chez soi… De
son Home Sweet Home.
Ce terrain que j’avais réservé
me plaisait vraiment beaucoup. Et voilà que je démarre l’année 2015 avec un
projet stoppé net.
Normalement, et d’après la
promesse de vente signée chez le notaire, j’ai droit à une surface de plancher
de 130m2, et, comme vu dans le chapitre précédent, à une emprise au
sol de 104m2. Pour résumer, l’emprise au sol est la surface occupée
par la construction sur le terrain. La surface de plancher, c’est la surface
intérieure totale de votre construction. Enfin, intérieure… Ce serait trop simple.
La définition de la surface de plancher est donnée sur Wikipédia, ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Surface_de_plancher
Vous pourrez trouver toutes les
informations sur son calcul ici : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2868
Alors, j’essaye de voir s’il est
possible de trouver une solution qui me satisferait en partant sur un autre
projet. Les deux seules solutions envisageables avec la surface habitable que
je recherche, c’est, soit de faire construire une maison à étage, soit de faire
construire une maison de plain-pied, mais avec un garage en sous-sol.
OC Résidences me propose donc
les deux solutions possibles qui présentent deux inconvénients.
Le premier inconvénient ? c’est plus cher.
Voici les plans et la vue 3D de la maison à étage :
Le deuxième inconvénient est plus embêtant : les nouveaux plans
proposés ne me plaisent pas, car ils sont finalement assez éloignés de mon
projet de départ qui est, je vous le rappelle, faire construire une maison de
plain-pied.
Las… Je me lance donc dans une
nouvelle recherche de bien immobilier et de terrain. Soit je vais signer pour
quelque chose qui me plait, soit je ne signe rien.
C’est ainsi que je passe l’hiver 2015 à voir des terrains, et à visiter
des maisons déjà construites. Elles ne me plaisent pas, et la plupart sont
des maisons à étages. Et quand j’en trouve une qui se rapproche de ce que je
cherche, il y a un défaut rédhibitoire, comme par exemple, pas de garage.
Le temps passe, le printemps arrive, et, après un
certain nombre de visites de maisons, après de nombreux déplacements sur des
terrains à bâtir, au bord du gouffre et du désespoir, je reviens vers un
lotissement que l’on m’avait montré plusieurs mois plus tôt, en 2014.
Ce lotissement se situe dans une commune du nord-nord-est de
Toulouse, c’est à dire le même secteur que Pechbonnieu. A l’époque, je n’avais
pas retenu ces terrains, car leur livraison était prévue dans le courant du deuxième
semestre de l’année 2015, ce que je trouvais beaucoup trop tardif.
On est au mois d’avril, le temps passe, et je n’ai toujours rien de
concret : alors, pourquoi pas ? Je me lance…
J’arrive à négocier le prix
d’achat d’un terrain qui me plait d’une superficie de 535m2 :
le tarif de commercialisation qui était de 109.000€ au lancement du programme,
est passé à 106.000€ au début du printemps. Je peux l’obtenir finalement pour
la somme de 100.000€, soit 10.000€ de plus que le terrain précédent auxquels il
va falloir ajouter des frais de raccordement plus importants avec une distance
bien plus importante, entre 40 et 50 mètres. Pour compenser, je me dis que je
vais limiter certaines options de la maison.
Je revois mon constructeur OC
Résidences qui me fait un nouveau plan adapté à ce nouveau terrain, on discute
un certain nombre de points sur les aménagements intérieurs, et on arrive à se
mettre d’accord sur un plan et sur le prix. La forme du terrain permet déjà de
produire un plan de maison plus simple avec un tarif un peu plus bas à équipements
identiques. Je modifie quelques options, et je finis par coller à mon budget.
La nouvelle maison fait 99,68m2
habitables, un garage de 22,00m2 avec porte sectionnelle motorisée
de 2,80m (contre 2,50m dans le précédent projet), une terrasse sur vide
sanitaire de 18m2,3 chambres avec placards, 1 WC suspendu (au lieu
de 2) avec lave-main, baies vitrées aluminium et fenêtre aluminium coulissantes
dans la pièce principale et menuiseries PVC dans les autres pièces le tout en
4/16/4 (4/20/4 dans le projet
précédent), volets roulants aluminium motorisés, commande non
centralisée (centralisée auparavant), chape ciment dans les chambres (au lieu
de carrelage), chauffage par radiateurs et chaudière hybride gaz/pompe à
chaleur air/eau pour chauffage et eau chaude (au lieu de chauffage par le sol
avec pompe à chaleur).
L’écran sous toiture est conservé, et les fondations restent
constituées d’une semelle filante posée sur « massifs » coulés à 2
mètres de profondeur.
Voici donc les plans de la maison et le tableau de surface
associé. Je l’espère cette fois-ci, ce sera la bonne !
C’est ainsi que le 8 avril, je
signe avec le lotisseur LP Promotion
pour ce terrain situé dans un lotissement très bien placé, et au calme.
Je ne vais pas vous refaire
l’histoire une seconde fois, mais les semaines qui suivent sont consacrées à la
négociation avec la banque, et à la recherche d’une assurance pour couvrir mon
prêt !
Cette fois-ci, tout est plus
rapide : je reste avec OC Résidences, et la Société Générale qui a encore baissé ses taux (1,50%). Je n’ai
encore jamais vu de taux aussi bas. Ma banquière non plus. Pour l’assurance, je
compte conserver la MACIF. Mauvaise nouvelle en revanche, car l’assureur a
monté ses tarifs sous prétexte que mon anniversaire en janvier m’a fait prendre
1 an. Oui, au dossier précédent j’avais 52 ans. Maintenant, j’en ai 53 !
On croit rêver… Avec un taux d’assurance
de 1,42%, l’assurance me coûte quasiment aussi cher que les intérêts du prêt
complet : un vrai scandale.
Bien entendu pour être couvert
et bénéficier de ce tarif (préférentiel ?), je dois repasser par la case
« analyses médicales complètes » : je n’en ai jamais eu autant
et elles sont encore une fois impeccables. A 53 ans, si j’avais encore un doute,
maintenant j’en suis certain, tout va bien !
Toute cette histoire me fait
perdre environ une année, mais mon nouveau dossier est enfin bouclé vers le
mois de juin…
… Quand soudain…