… Les travaux
s’enchaînent !
Alors que fin juin, voit arriver les échéances relatives à
l’achèvement des murs et à la mise hors d’eau, les travaux continuent avec un
bon rythme, et même, cela va très vite !
Le 5 juillet, je
peux constater que les descentes d’eaux pluviales et les gouttières aluminium ont
été posées, ainsi qu’on le voit sur la photo ci-dessous.
Je me pose juste la question de la descente qui arrive à
l’aplomb du trottoir (cercle rouge en bas à gauche de la photo). Après en avoir
discuté avec un artisan et avec le conducteur de travaux, il n’y avait pas
moyen de faire autrement : le point culminant des gouttières doit se
situer au milieu de la construction. En effet, pour évacuer l’eau de pluie, il
y a une pente minimum obligatoire. Si le point culminant se situait à un angle
du bâtiment, alors le point bas à l’autre angle serait trop bas du fait de la
longueur de la gouttière. Cela signifie que le trottoir sera percé à la
verticale de la descente qui passera au travers.
Le matériel posé chez moi est fabriqué par Dal’Alu à voir ici.
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| Les gouttières et descentes d’eaux pluviales sont posées |
Le 6 juillet, les
matériaux Placoplatre
sont livrés. Ce sont les premiers matériaux qui vont être posés à l’intérieur
de la maison qui est désormais prête pour la réalisation des plafonds et des
cloisons
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| Le Placoplatre des plafonds et cloisons intérieures a été livré |
Le 7 juillet au
matin, avant d’aller travailler, je décide de m’arrêter sur le
chantier : en arrivant, je vois que la maison est ouverte… Je vais pouvoir
en faire la première visite !
Le plaquiste est à l’œuvre : il m’apprend que les
plafonds et cloisons seront posés et jointés en milieu de la semaine suivante.
Super !
Voici en image ce que cela donne au début des travaux
intérieurs. Les plafonds sont déjà posés, et la pose des plaques isolantes
périphériques est en cours.
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| Début des travaux intérieurs : vue des futures chambres |
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| Début des travaux intérieurs : vue des futurs entrée, salon, cuisine, et cellier |
La photo suivante est
prise deux jours plus tard, par la fenêtre (d’où les reflets !) alors
que je rentre du travail : les rails de fixation des cloisons ont presque tous été posés. Je trouve
exceptionnel d’avoir pu saisir ce moment qui permet de deviner l’ensemble des
pièces de la maison, comme si les cloisons étaient transparentes.
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| Plafonds et isolation sont posés. L’ossature des cloisons est quasiment terminée |
Penser à la fin
du chantier…
Ce même jour, le 9
juillet, je dois commencer à me préoccuper de la fin du chantier. Aussi, j’appelle
mon cuisiniste (NdlR : Cuisines Turini, cf chapitre
8) pour la prise de mesures sur le chantier juste après la pose des
cloisons. Le rendez-vous est pris pour le 19 juillet. Comme il me faut être
certain de pouvoir accéder à l’intérieur de la maison, j’appelle également Oc Résidences :
Ils me laisseront une clef en échange de la signature d’une décharge en cas de
problème lorsque je serai sur le chantier dont ils sont responsables jusqu’à la
remise des clefs.
J’appelle aussi la personne qui doit réaliser les travaux de
peinture intérieure. Il s’agit d’un ami, mais comme il a beaucoup de travail,
il vaut mieux que j’anticipe ses travaux : de fait, il me réserve une
partie du mois d’octobre, ses premières disponibilités. J’espère juste que ma
maison sera livrée, car sinon il me faudra décaler toutes ces interventions.
Il m’est difficile d’obtenir une date prévisionnelle de
livraison par Oc Résidences. Le Conducteur de travaux a du mal à s’engager sur
ce sujet, et c’est leur plus gros problème, le reste étant vraiment très
sérieux.
Quoi qu’il en soit, il me faut faire avec ce
paramètre : au train où vont les choses, j’imagine que ma maison sera
livrée entre fin septembre et fin octobre. En fonction de la date réelle de
livraison, il faudra peut-être que je recale certaines interventions.
Qui dit fin de chantier dit également terrassement : il
faut que je me décide également sur le devis du terrassier, et notamment sur le
choix de la solution de relevage des eaux usées. Je vais finalement m’orienter
vers une pompe de relevage simple, de marque JETLY avec une pompe
de secours (cf chapitre
13).
Les travaux
intérieurs continuent…
Le 12 juillet,
les cloisons sont complètement terminées et jointées. Voici les photos que j’ai
pu prendre le 19 juillet, date du rendez-vous sur le chantier avec mon
cuisiniste. On y voit également le matériel déposé en prévision de
l’intervention du plombier.
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| Fin de la pose des cloisons et plafonds : vue du couloir vers le garage |
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| Fin de la pose des cloisons et plafonds : vue du couloir vers le salon |
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| Fin de la pose des cloisons et plafonds : vue de la future cuisine et entrée du cellier |
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| Fin de la pose des cloisons et plafonds : vue du salon vers la terrasse, et matériel pour le plombier |
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| Fin de la pose des cloisons et plafonds : vue du salon vers la cuisine et terrasse |
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| Les portes intérieures sont équipées de joints pour une meilleure isolation phonique |
Sur la photo ci-dessus, on distingue le joint qui sert à l’isolation
phonique qui est collé sur chacune des ouvertures intérieures. La couleur bleue
est celle du film de protection du joint qu’il me faudra enlever après la
réalisation de la peinture.
Le 15 juillet, quelques
jours avant le rendez-vous sur le chantier, je passe chez mon cuisiniste. Conserver
mon vieux réfrigérateur / congélateur dans une cuisine intégrée toute neuve me
chagrine. Je compte remplacer mon réfrigérateur par un tout neuf et moins haut :
ainsi je pourrai demander à mon cuisiniste de prévoir un meuble au dessus.
Finalement, mon plan initial ne tient pas longtemps : je repars le
portefeuille plus léger, mais avec un réfrigérateur / congélateur intégrable LIEBHERR modèle RCI 5452, et une armoire pour
électroménager intégré.
Première visite
de la maison…
Le soir du 18 juillet,
je m’arrête chez OC Résidences afin de récupérer une clef qui me permettra
d’accéder à la maison. Celle-ci m’est remise en douce, car le conducteur de
travaux qui est présent n’aime pas du tout qu’on accède à ses chantiers tant
que la livraison n’est pas faite : je trouve ça rigolo !
Le 19 juillet au
matin, mon cuisiniste se présente donc, et il peut faire la prise de
mesures en prévision de la fabrication de la cuisine et de sa future pose. Je
note au passage que le fil de l’interrupteur du volet roulant à la fenêtre de
la cuisine est du mauvais côté : il faudra que je pense à le faire
modifier lorsque j’aurai mon rendez-vous avec l’électricien.
Ce jour-là, j’en profite pour faire les photos que vous avez
pu voir ci-dessus. Il s’agit quand même de la première visite de ma future
maison.
Pour l’anecdote, sachez que le conducteur de travaux choisit
précisément ce moment pour passer sur le chantier. Je crois qu’au bureau,
certains vont entendre parler du pays !
Aussitôt le rendez-vous terminé, je rapporte les clefs chez
OC résidences.
Dans les jours qui
suivent, le cuisiniste m’envoie un message : il me faut prendre un
rendez-vous pour apporter quelques corrections dans les devis établis. La date
est fixée le 26 juillet. Je vais y repasser près de deux heures :
décidemment, la cuisine est un poste plutôt chronophage !
Néanmoins, s’agissant des derniers ajustements avant de
lancer la fabrication, je vous affirme avec le recul que ce rendez-vous était
absolument nécessaire.
Tout
s’emballe !
Le 25 juillet, un
plombier me contacte pour un premier rendez-vous sur le chantier auquel je me
rends le soir même. Malheureusement, il ne s’agit pas d’un
plombier-chauffagiste, et comme j’ai une chaudière et des radiateurs à poser,
le conducteur de travaux change d’entreprise. Je vais en être quitte pour un
nouveau rendez-vous de chantier.
Le 27 juillet, j’ai
rendez-vous chez OC Résidences avec le conducteur de travaux pour
positionner sur plan l’ensemble de l’électricité et les radiateurs. Cela
concerne pour la partie électrique : les points lumineux, les
interrupteurs simples et va et vient, les prises électriques, mais également
réseau et antenne.
Le 11 août, alors
que je pensais tout le monde en congés, j’ai un nouveau rendez-vous sur le
chantier avec le plombier, qui cette fois-ci est aussi chauffagiste !
Un petit couac apparaît lors de ce rendez-vous : alors
que j’ai répété au moins 3 fois chez OC Résidences lors de 3 rendez-vous
différents que je voulais des radiateurs à pose verticale dans le salon, et
bien, je vous le donne en mille : les radiateurs livrés dans le salon sont
à pose horizontale !
Préparer les
travaux de terrassement
Le week-end du 15
août va être laborieux : les outils de jardin vont parler !
Le dimanche 14 août,
armé d’un rotofil et d’un taille haie thermiques, je démarre le week-end par un
débroussaillage en bonne et due forme. Le terrain est recouvert d’herbes de
plus de 50cm de haut, et les enlever est un préalable nécessaire au nettoyage
du terrain. Certaines tiges sont tellement grosses que ça ressemble davantage à
des roseaux qu’à de l’herbe, et le rotofil, même thermique, a du mal par
moment. Pour les herbes les plus grosses, et le talus haut de plusieurs mètres,
je dois passer au taille haie : c’est beaucoup plus efficace et rapide,
mais bien plus physique aussi !
Pas de chance, je crois qu’il s’agit des journées les plus
chaudes de tout l’été : même en ayant démarré le matin, les températures
dépassent rapidement les 30°C. Evidemment, quand on réalise ce genre de labeur,
il n’est pas question de le faire en short : pantalon Jean et bottes sont
de rigueur.
Après environ 3 heures quasiment ininterrompues, je termine
enfin ce travail… Complètement exténué. Le bornage du terrain, enfoui sous des
ronces, est réapparu, de même que les déchets de la construction qui jonchent
le sol, et qui font partie de mes objectifs du week-end. C’est à ces moments
que je ne regrette vraiment pas d’avoir opté pour un terrain de moins de 550m2 !
Puisqu’il fait tellement chaud dans la journée, je reviens le lundi 15 août, tôt le
matin, pour terminer le travail. La suite est plus simple et moins physique que
le travail de la veille, mais va se révéler plus long en temps : je dois
faire le tour du terrain pour le nettoyer.
En effet, si vous ne nettoyez pas votre terrain avant la
remise des clefs, une bonne partie de ce qui traine dessus sera enfouie par le
terrassier lorsqu’il mettra les terres en place : il est censé faire un
nettoyage, mais celui-ci ne sera jamais équivalent à celui que vous ferez
vous-même.
Le sujet du nettoyage des chantiers est souvent un problème lors
des remblais. Alors en faisant cela vous-même, ce sera mieux fait, vous facilitez
la vie du terrassier, et vous lui faites gagner du temps : il y a des
chances qu’il réalise ses travaux de nivellement avec plus d’application…
Si vous ne nettoyez pas, vous serez moins fatigué… Mais plus
tard, certains déchets pourront réapparaître tout seul… Parfois aussi vous vous
énerverez lorsque vous voudrez creuser un trou pour y planter un arbre ou
réaliser certains travaux nécessitant des fouilles. C’est à ce moment-là que
votre bêche se cognera sur un truc énorme et très lourd vous empêchera de
creuser !
Plus grave, les ouvriers brulent certains matériaux sur le
lieu des chantiers : des palettes farcies de clous… Mais aussi des métaux
en tout genre, des plastiques qui fondent et forment des plaques à même le sol,
le polluant de manière durable.
Voyez plutôt sur les photos ci-dessous…
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| Quelques clous ramassés là ou des palettes ont été brulées |
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| Un foyer servant à bruler les déchets du chantier avec du plastique fondu mélangé à la terre |
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| Maintenant le terrassier sera obligé de ramasser tout ça lors du nettoyage |
Pendant ce temps
dans le lotissement…
Comme depuis plusieurs chapitres, voici une petite mise à
jour de l’avancement des travaux dans l’ensemble du lotissement. Dans le plan
ci-dessous, mon terrain est coloré en jaune. Les autres parcelles sur lesquelles
les constructions ont démarré sont en bleu.
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| Début août, chantiers démarrés (en bleu) autour de mon terrain (en jaune) |
Voici ci-dessous quatre vues du lotissement dans l’état
actuel :
- les deux premières photos sont prises de l’entrée de mon allée d’accès,
- la troisième est prise de ma terrasse,
- la quatrième est prise de la rue devant le lot numéro 35.
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| Vue du lotissement à partir de la rue devant mon chemin d’accès. Au fond, ma maison |
Sur la photo ci-dessus, la construction est réalisée par un
constructeur que je connais (non, je ne dirai pas son nom !). La manière
de réaliser les poteaux d’angle m’interpelle : ils sont montés en une
seule fois jusqu’en haut à l’aide de briques spéciales, puis les murs sont
bâtis entre chacun d’entre eux.
Sur les constructions traditionnelles, les poteaux sont
toujours construits au fur et à mesure du montage des murs, et à chaque rangée,
les briques des angles s’entrecroisent pour une plus grande solidité qui parait
évidente. C’est la première fois que je vois ça. Même si en haut des murs, les
angles sont reliés et maintenus par un chainage périphérique bétonné et
ferraillé, je me demande ce que cela va donner en terme de solidité… Comme je
vais habiter à côté, je verrai bien dans quelques années si des fissures
apparaissent !
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| Vue du lotissement à partir de la rue devant mon chemin d’accès. Au fond, le macro-lot, devant le chantier du lot n°52 |
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| Vue du lotissement à partir de ma terrasse en regardant vers le lot n°37 |
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| Vue du lotissement à partir de la rue devant lot n°35 en regardant vers ma maison |
Comme vous pouvez le constater, ça monte !
Juste avant les
vacances…
Pendant ce mois de
juillet assez riche, je n’avais même pas fait attention à ce détail… La
question de la descente des eaux pluviales au-dessus du trottoir est
réglée : un trou, et puis c’est tout… L’eau passera au travers de la
dalle !
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| La descente d’eaux pluviales au-dessus du trottoir traverse le trottoir |
Me voici arrivé à la
deuxième quinzaine du mois d’août. Normalement, le plombier est le prochain
qui doit intervenir. Mais cela fera partie de la suite de l’histoire !
